Ici on met la lumière sur les couvertures patchwork « souvenirs d’enfance ». La plupart de mamans gardent quelques vêtements de petite enfance dont elles ne vont JAMAIS se séparer. Les enfants ont grandi, ça va si vite ! Mais elle garde quelques petites tenues au fond d’un armoire – elle ne peut pas les jeter, elle n’arrive pas à les donner – ils représentent beaucoup trop de souvenirs ! |
Un patchwork de souvenirs d'enfance
Tanja de Repatchit propose de transformer ces vêtements en couverture patchwork pour faire revivre ces souvenirs précieux. C’est un cadeau magnifique à offrir à ses enfants – et à soi-même – et le petit bonus, ça permet de désencombrer un peu la maison…

Quels vêtements et textiles choisir ?
Une seule critère « technique » pour le choix des tissus : ça doit être lavable !
La création finale doit pouvoir vivre et donc être lavée en machine pour plus de simplicité – c’est pour ça que chaque composant doit être lavable.
Sinon « tout va » : polaire, soie, jean, jersey… Pour les éléments trop petits, Repatchit peut les ajouter en appliqué par-dessus le patchwork (bonnets, chaussettes…).
Techniquement le plaid fait 110 x 150 cm et il est composé de 108 carrés de tissus.
Ça veut dire que Repatchit peut intégrer jusqu’à 108 différents habits sur un seul plaid !
C’est rare que l’on demande d’utiliser tant d’habits, la plupart du temps les clientes donnent plutôt 20 à 40 habits pour ce genre de projet. Mais ça arrive – par exemple c’est arrivé avec la commande de Julia, une parisienne mère de 3 enfants !

Le plaid "souvenirs d'enfance" de Julia
Pour Julia, l’idée était déjà ancrée dans sa tête depuis longue date… Elle avait gardé beaucoup de vêtements de ses enfants, notamment de ses deux filles, et elle avait du mal à s’en défaire.
Elle aimait l’idée du patchwork et elle se disait que ce serait super de trouver quelqu’un qui pouvait en faire quelque chose… Mais où, qui, comment, quoi ?
Julia a accepté de témoigner de son expérience avec Repatchit. Interview ci-après.

Le témoignage de Julia...
Tanja / Repatchit : Julia, est-ce que tu peux me dire comment tu as trouvé Repatchit et décidé de me confier ton projet de patchwork souvenirs ? Julia : « En fait c’était une idée que j’avais déjà : celle de faire un patchwork avec les vêtements de mes enfants. Je me disais que c’était une lubie de ma part… Mais finalement j’ai fait une recherche sur Google et je suis tombé sur ton site. Je me suis dit que j’avais trouvé la perle rare ! J’ai eu besoin d’échanger… J’avais besoin d’être mise en confiance. Pour moi, ce n’était pas si simple que ça de me dire « ça y est, les vêtements, je les donne et ils vont être découpés » ! Ce qui m’a vraiment mise en confiance, c’est le temps qu’on a passé ensemble. Sur chaque vêtement, on a pris le temps. Il n’y a aucun moment où j’ai senti une pression – je craignais d’être un peu trop exigeante, mais il y avait une vraie écoute de chacune de mes demandes. Ça m’a permis de dire « Bon voilà, on y va ! » Pour moi, c’était vraiment une façon de faire en sorte que les vêtements n’appartiennent plus seulement au passé. D’en refaire autre chose, différemment – de pouvoir en profiter au présent … et ça a permis de désencombrer chez moi ! » Tanja / Repatchit : Parmi les vêtements que tu as choisis, est-ce qu’il y en avait qui étaient particulièrement chargés en émotions pour toi ? Julia : « Ah oui ! Par exemple, je pense à un petit t-shirt que j’avais acheté un peu grand pour ma première fille. Au départ, il faisait presque une petite robe ! Et puis elle a grandi avec – elle l’a mis pendant des années. Ensuite, sa petite sœur a fait exactement la même chose ! Donc il était vraiment là pendant toute une période de notre vie, il tournait régulièrement à la machine, il était toujours présent là avec nous. D’ailleurs on a fait en sorte d’en mettre plusieurs morceaux de ce t-shirt sur le plaid. Voilà, il y en a quelques-uns comme ça, ce n’est pas le seul… Il y a vraiment ce côté « un bout de notre vie » qui se retrouve sur « un bout du patchwork » et ça, c’était chouette. » Tanja / Repatchit : Quand t’as reçu le plaid, ça t’a fait quel effet ? Julia : « C’était rigolo parce que quand tu me l’as remis je devais finir ma journée de travail, je ne pouvais pas la découvrir tout de suite. Ça m’a fait un peu l’effet d’une lettre qu’on attend depuis longtemps – on attend pour l’ouvrir ! On sait qu’elle est là on sait qu’elle est importante… Mais voilà, on a ce petit délai pour profiter encore un peu : j’ai attendu de pouvoir ouvrir le paquet en rentrant le soir avec mes enfants… Quand j’ai montré le plaid à ma mère, elle aussi a été très, très touchée. Elle a trouvé que l’idée était très belle ; elle a dit que ça me ressemblait bien parce que j’ai ce côté un peu sentimental ! J’ai aussi eu beaucoup de plaisir à le montrer à une de mes amies qui m’avait donné certains des vêtements : quand elle retrouvait des vêtements de ses propres enfants, elle avait les yeux pleins d’étoiles. C’est sympa parce que ça dépasse le noyau seul familial tous ces petits morceaux de vie rassemblés. Tanja / Repatchit : Et aujourd’hui ? Julia : « Aujourd’hui ? Eh ben, le plaid est en plein milieu du salon ! Si on regarde la télé ou si on lit un livre, on sait qu’il est là et on s’enveloppe dedans et c’est très agréable. Il est précieux. Et puis parfois, ça nous arrive de prendre le temps de redétailler, de regarder, de se souvenir – c’est aussi ça, sa valeur, c’est vraiment un objet qui accompagne la famille. Tanja / Repatchit : On va bientôt se revoir parce que tu veux passer une nouvelle commande, mais en attendant, j’ai envie de te demander ce que tu dirais à quelqu’un qui hésite à passer sa commande ? Julie : « Hm. Je ne sais pas – je pense que je lui demanderais ce qui la fait hésiter … » Tanja / Repatchit : C’est une excellente réponse et une très bonne question ! Merci ! |
