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DIY – 24 activités pour Noël

Tanja / Repatchit avec bonnet lutinCher lecteur,

Je vous présente fièrement mon calendrier de l’avent Repatchit 2020 :

24 activités créatives à faire soi-même !

DIY – Do It Yourself (ou en français, à faire soi-même)

Tournage tuto à l'atelier RepatchitChaque matin du 1er au 24 décembre 2020 je vais mettre en ligne un tuto sur FaceBook et mon site internet pour vous guider à faire une activité.

Les activités sont tous liées à Noël d’une façon ou d’une autre. Chaque activité est faite en textiles – le plus souvent des textiles recyclés.

Avez-vous ce qu’il faut ??

Photo ambiance avec kitPeut-être vous avez déjà les fournitures nécessaires pour faire les activités. Dans ce cas, vous regardez la vidéo du jour et vous commencez à créer !

MAIS ! Si vous n’avez pas les matériaux nécessaires pour faire les activités, je vous les propose à la vente. Il s’agit d’un kit de matériaux par jour. Vous pouvez les acheter directement dans l’atelier à Saint-Leu-la-Forêt (si possible, en fonction de l’évolution du confinement), ou en ligne, comme expliqué ci-dessous.

Vous pouvez réserver la totalité du calendrier de l’avent dés maintenant au prix préférentiel de 85 € pour les 24 activités !

Vous pouvez acheter vos kits de fournitures à l’unité ou par paquet entre le 14 novembre et le 20 décembre.

Vente des kits de fournitures à Saint-Leu-la-Forêt

Kit pour faire une carte de vœux Année d'AmourPour venir acheter un ou plusieurs kits à l’atelier, merci de me contacter par téléphone au 06.95.65.81.51 pour fixer l’horaire (si possible, en fonction de l’évolution du confinement).

L’adresse, pour rappel : 91 rue du Général Leclerc, 95320 Saint Leu la Forêt.

Achat en ligne de fournitures pour les activités de Noël DIY

Pour passer commande d’un ou plusieurs kits de matériaux en ligne, je n’ai pas de site commerçant ! Il va donc falloir passer par plusieurs étape – Exemples de couleurs du kit pour créer un cône danois (kraemmerhus)échange de mails, ensuite paiement par PayPal et finalement envoi des kits. J’espère que cela ne va pas vous empêcher d’en acheter si vous en avez envie !

Pour finir, je voudrais faire un constat : pour que vous puissiez décider quelles activités vous avez envie de faire, je suis obligée de les lister en avance. Cela m’embête car ça diminue l’agréable effet de découverte chaque jour. Pour moi, c’est la raison d’être d’un calendrier de l’avent.

Je me permets donc de garder la liste secrète jusqu’au 14 novembre !

Outils pour créer des coupelles apéro individuelles en faux cuirA partir du 14 novembre, vous pouvez consulter la liste complète d’activités proposés dans le calendrier de l’avent Repatchit 2020. Et à ce moment-là, vous aurez la possibilité de passer commande d’un seul kit – ou plusieurs.

Si le concept vous a déjà convaincu, vous pouvez réserver votre calendrier de l’avent complet tout de suite !

Joyeux Noël et bonne création !

Cordialement, Tanja / Repatchit

« Flash info » La fin des masques gratuits chez Repatchit

Couture masques AFNORJ’arrête de fabriquer des masques en tissu de manière bénévole.

Voila, c’est dit !

Le 10 avril j’ai été parmi les premiers inscrits sur la plateforme d’AFNOR.

Je ressentais alors un très grand besoin de participer à la lutte contre la pandémie mondiale Covid-19 que nous vivons.

Espace de travailAu final, j’ai fabriqué presque 400 masques en 4 semaines, de bon cœur, de manière complètement volontaire et bénévole. Bon, 371 pour être exacte (oui, j’ai compté).

J’en suis très fière ! En retour j’ai eu énormément de gratitude, des dons de fournitures, de gourmandises (et parfois même de l’argent).

J’ai eu l’impression de répondre à une vraie détresse. Je n’ai pas compté mes heures et je n’ai pas compté les fournitures – tissu, fil à coudre, élastiques, rubans etc.

Mais maintenant je dois arrêter le bénévolat et je profite de la date symbolique du 1er mai pour formuler cela « officiellement » !

Pourquoi arrêter de fournir des masques gratuitement ?

Élastiques pour masquesC’est une décision prise en fonction de plusieurs facteurs. D’une part je suis arrivée au point où j’ai dû faire des dépenses pour racheter des fournitures afin de pouvoir continuer la production.Bobines vides

D’autre part, je vois se multiplier les vendeurs de masques, artisanaux et industriels et je ne trouve pas normal de continuer la gratuité quand autant d’autres se font payer pour un travail semblable. Je ne dis pas cela pour faire des reproches ; tout travail mérite salaire, ils ont bien raison de se faire payer – et je vais désormais faire pareil.

La création d'un memory quilt à l'atelier en FranceIl faut aussi admettre que je vois arriver le déconfinement et je dois moi aussi reprendre mon activité. Il se trouve que mon activité est justement la création textile, notamment les couvertures-souvenirs en patchwork, et que j’ai des commandes à honorer que j’ai laissé de côté trop longtemps déjà.La couture de patchwork à l'atelier Repatchit, de façon artisanale. Photo : twelve-photography.fr

Toutefois, je sais que j’ai encore une liste de gens qui m’ont demandé des masques et je ne souhaite pas les laisser tomber.

J’ai donc décidé d’inclure les masques lavables en tissu type « AFNOR » dans les créations en textiles recyclés que je propose en vente. A partir de lundi 4 mai, payants, tout comme mes autres créations.

Je suis sincèrement désolée pour les quelques personnes dans ma liste d’attente vis-à-vis desquelles je m’étais en principe engagée pour faire des masques gratuitement ; je recontacterai évidemment chaque personne pour savoir si elle souhaite maintenir sa commande ou l’annuler au vu des circonstances.

Les demandes de masques AFNOR

Atelier dans le salonQuand je me suis inscrite sur la plateforme d’AFNOR je ne m’imaginais absolument pas recevoir autant de demandes. Je pensais avoir une capacité de production d’environ 60 masques par semaine, mais j’ai été submergée par un véritable torrent de demandes. En deux semaines, de vendredi 10 avril quand la plateforme a été mise en ligne, au samedi 25 avril quand j’ai désactivé mon profil (pour éviter de trop stresser), j’avais reçu une bonne soixantaine de demandes pour un nombre de masques hallucinant.Modèle AFNOR

Chaque demande m’a semblé exprimer une détresse singulière qui méritait réponse. Mais déjà au bout de quelques jours, je me suis résolue à limiter mon offre à max. 20 masques par demandeur… J’avais des demandes allant de 1 masque à 5000 – et même une demande d’un devis pour 30.000 masques. Il était évident que je ne serai d’aucune aide pour quelqu’un qui a besoin de plusieurs centaines, voire milliers de masques !Découpage tissu pour masque

Honnêtement, j’ai été choquée de la provenance de certaines demandes, car j’ai eu des demandes de secteurs qui aurait dû être fournis en masque déjà…  et qui ne devraient en aucun cas être poussés à me contacter, moi avec mes tissus recyclés et ma bonne volonté dans mon petit atelier. Des écoles, des crèches, du personnel soignant, plusieurs municipalités, des représentants des forces de l’ordre et du tribunal ! Mais aussi des entreprises. Et bien sûr, des particuliers

La fin de la gratuité relative

Personnellement, il me semble normal que les masques soient gratuits, surtout pour les particuliers si cela devient une obligation d’en porter. Mais le fait que « ça devrait être gratuit pour les gens » ne veut pas dire que c’est à moi de les payer… et en les fabricant de manière gratuite, c’est en réalité cela qui se passe…

Je resterai à jamais très fière d’avoir contribué à l’effort collectif pendant la pandémie Covid-19 : je suis très contente d’avoir pu aider des gens dans le besoin pendant une période très difficile !

Mais j’espère que le pire est derrière nous et que nous pouvons commencer à retourner à une vie normale… ce qui implique entre autres de faire payer mes créations en textiles recyclés.

Pour finir, voici un aperçu d’une partie des masques que j’ai livré…

Sur ce, je vous souhaite à toutes et à tous une belle journée de 1er mai avec plein de bonheur.

Bad toro muguet de mai

Fabrication masques AFNOR

Depuis mon dernier blog, les choses ont pas mal évoluées !Peluche portant un masque barrière

Les nouvelles recommandations des autorités sanitaires sont de porter des masques pour limiter les postillons, tout en continuant de respecter le confinement, la distanciation sociale et les gestes barrières.

Même si, à ce jour, le port du masque n’est pas obligatoire, il pourrait le devenir.

Je suivais déjà l’évolution des modèles conseillés et j’avais commencé à tester celui de AFNOR (il suffit de remplir ce formulaire pour recevoir les spécifications).

Masque barrière à plisPour faire court, cette semaine j’ai décidé de démarrer une petite production de masques – pour en avoir pour moi-même et ma famille, et pour en proposer à d’autres gens de ma ville en commençant par mes voisins.

Mardi j’ai distribué une première douzaine de masques à des voisins et depuis je continue à recevoir des demandes donc je continue !

Les matériaux utilisés

Dans ma production de masques barrières, je me base sur les recommandations du document technique AFNOR.

Puisque ce document est très technique, je me base aussi sur les explications et recommandations beaucoup plus sympathiques et faciles à comprendre de « L’atelier des gourdes »..

– eh oui, moi aussi je suis une gourde parfois !

Liens de sacs de congélationsUn des rajouts de « la gourde » : rajouter un lien de congélation dans la couture haute, pour avoir un petit truc métallique permettant de mieux faire épouser le masque à l’arrêt du nez. J’ai testé, j’ai trouvé que c’était plus efficace si je mettais 2-3 liens de congélations.. et j’ai très vite épuisé mon stock limité de ces machins..

J’avais fait tester un masque sans liens de congélation à mon mari. Il porte des lunettes. Comme le modèle « baille » un peu entre les pommettes et l’arrêt du nez, il s’est envoyé des bouffés d’air chaud derrière ses lunettes, créant un écran de buée moyennement efficace… Avec les liens de congélation, c’était un peu mieux.

Fil de fer et scotch ! Du coup, j’ai tenté de mettre un bout de fil de fer doublé, dans toute la largeur du masque, enveloppant les bouts pointus avec un peu de scotch. Et j’ai l’impression que cela améliore le maintient du masque, donc je vais continuer à utiliser cette méthode tant que j’ai des fournitures pour ça.

Car oui, étrange période, nous n’avons pas l’habitude de tomber à court de quelque chose et ne pas « juste » pouvoir en racheter ! Je reste bien sûre confiné chez moi… Masque avec des liens en ruban cadeau

Pour les élastiques, j’ai très vite épuisé mon stock ! Du coup me voila parti à utiliser le vieux stock de ruban en biais violet des années 70 et les rubans cadeaux – enfin bon, cela donne un certain charme !

En ce qui concerne le coton, j’en ai assez pour tenir très, très longtemps… je ne voudrais vraiment pas penser aux nombre de masques qu’il faudrait fabriquer pour épuiser mon stock.

Ok maintenant le mal est fait, j’y pense – mais comme je n’ai pas d’inventaire précis, je ne peux pas vraiment faire le calcul, ouf ! Disons juste que j’espère vivement que le Covid-19 est maîtrisé et oublié avant que mon stock de coton est épuisé …

Masque barrière

Il s’agit bien de masques « barrière » : que ce soit clair, je ne propose pas des masques qui protègent contre le COVID-19 ! J’aimerais bien, mais je ne suis pas équipé pour en faire.

Voici un petit texte que j’essaye de glisser avec chaque masque :

Masque « barrière » en coton suivant de mon mieux les normes AFNOR, à utiliser pour les sorties de courses etc. A porter max 3-4 h de suite, laver à 60° pendant 30 min et jeter si le masque se dégrade.

1 / Selon le modèle : mettre les élastiques derrière les oreilles (pour les petites têtes, raccourcir l’élastique en faisant un nœud) / nouer les rubans derrière la tête.

2 / « En haut », il y a un bout de métal pour aider le masque à épouser le nez (sur certains modèles ça ne marche pas très bien, ce sont des liens de sac de congélation – sur d’autres modèles, où le fil fait toute la largeur, il s’agit d’un bout de fil de fer replié et habillé d’un bout de gros scotch pour éviter que les pointes traversent – merci d’être vigilent sur ce point pour ne pas vous blesser !)

3 / Bien ouvrir le masque pour qu’il couvre de sous le menton à au-dessus le nez

A porter pour limiter les « postillons », ne protège pas contre le COVID 19 et ne remplace évidemment pas un vrai masque chirurgical.

Si questions, Tanja 06 95 65 81 51

Corona-virus DIY : dois-je fabriquer des masques en tissu ?

Je me pose cette question qui me semble extrêmement importante : dois-je fabriquer des masques en tissu ?

En temps normale, cela serait une question parfaitement anodine, mais ce mercredi 18 mars en pleine confinement et pandémie de Corona-virus, cela me semble une question compliqué et grave !

Je veux aider dans l’effort contre le Corona-virus

Croyez-moi, si je peux aider, je ne demande que ça – comme beaucoup d’autres ! S’il faut coudre des masques en tissus je veux participer !

Mais je voudrais être sûre de faire du bien – et pas une grave bêtise.

Car je ne veux pas faire des masques qui ne serviront à rien, n’étant évidemment pas du tout à l’hauteur d’un masque médical. Et je ne veux surtout pas donner un faux sentiment de sécurité en fournissant un masque qui ne protège pas ; car du coup, ce serait justement pire que rien, car cela peut vite mener à un comportement moins prudent (manque de respect de la distance entre les personnes, rendre visite à une personne vulnérable…).

Les masques en tissus DIY

Je sais que plusieurs couturières ont pris l’initiative de commencer à fabriquer des masques en tissu selon le modèle du site CraftPassion. D’abord je me suis dis que ce genre de masque ne devrait pas servir à grand-chose, à part d’être décoratif. Mais je me suis dis aussi que c’est peut-être mieux que rien ! J’ai posé la question à une infirmière.

L’avis d’une infirmière sur les masques DIY en tissu

L’infirmière a pris le temps de me faire une réponse que j’ai trouvé très utile. Elle m’a dit que les masques doivent être jetables car le virus se pose sur les masques comme sur tout le reste. Elle a souligné que (comme nous avons tous vue à la télé), « Quand on travaille avec des patients positifs on est avec des tenues, tabliers, lunettes, sur blouses et masques jetables ! « 

Elle a rajouté que « En gros les masques on ne doit pas les toucher. Ils permettent de mettre une barrière entre soi et les autres mais si on est face à quelqu’un de positif il va projeter le virus sur ton masque et quand tu vas le toucher tu l’auras sur tes mains! Donc il faut l’enlever par l’arrière et le jeter immédiatement… « 

Quand je pense aux très jolis masques en tissu que j’ai vue, je ne pense pas que les personnes qui les ont confectionnés les ont destiné à être jetés après quelques heures ! Je me suis dis que je devrais envoyer ce message aux autres couturières pour information. Mais avant d’avoir eu le temps de faire cela, j’ai appris qu’il y avait une demande plutôt officielle…

La demande de l’Institut Cancer Montpellier

On m’a dit que l’ICM a lancé une demande sur FaceBook (apparemment il s’agit de l’Institut Cancer Montpellier). J’ai regardé le message et il a l’air vrai – mais j’ai cru comprendre que les masques qu’ils demandent ne sont pas pour la lutte contre le corona-virus, mais justement pour d’autres services, qui en pâtissent du fait que toutes les masques sont réservés au corona-virus. AHA me suis-je dis, peut-être je peux faire des masques en tissu qui serviront, non pas directement dans la lutte contre le corona-virus, mais dans je-ne-sais-quel autre service sanitaire en manque de masque ! Chouette, on y va ? ! Euh non, désolée, il reste des questions importantes à régler…

Des masques pour qui, pour quoi ?

Si les autorités sanitaires et le corps médical ont besoin que les français et françaises possédant une machine à coudre fabriquent des masques pour tel ou tel utilisation, ils vont nous le dire, non ? J’aimerais bien aider, mais je ne suis pas compétente pour décider quel type de tissu utiliser pour que le masque protège suffisamment les utilisateurs.

J’ai lu quelques discussions à ce sujet sur FaceBook… et cela me semble clair que ces gens ne sont pas compétent non plus !

Il me faut donc une réponse d’une autorité fiable. Faute de mieux et pour ne pas encombrer le 15, j’ai envoyé cette question (avec quelques autres) à l’adresse dédié aux questions sur le Corona-virus que la mairie de ma ville a mis en place. Ils ont d’abord répondu qu’il semble que ces masques ne soient pas efficaces (puisque les pores du tissu ne filtrent pas les microbes). Mais ils ont promis d’interroger l’ARS sur le sujet pour être sûre. J’attends encore le retour (cela ne fait que quelques heures que j’ai posé la question !).

La distribution des masques

Je me questionne aussi pour la potentielle distribution des hypothétiques masques.. Ah oui, je suis plutôt doué pour poser des questions ! Je ne sais pas combien de masques je pourrais faire par jour, mais il faudrait aussi pouvoir les envoyer aux bons destinataires. Enfin, cela est un sujet qui serait à poser quand on sait à qui aurait besoin de ces masques « fait-maison ».

Masque jetable ou masque ré-utilisable ?

Est-ce que un lavage à 60 ° suffit pour pouvoir re-utiliser un masque ? Il faut l’espérer, mais j’aimerais que les autorités sanitaires le confirme.

De toute façon, si je confectionne des masques je devrais sûrement les laver avant des les livrer, pour éviter d’éventuellement laisser des bactéries sur les masques (je n’ai aucune symptôme aujourd’hui mais je pourrais être un porteur sain, soyons paranos pour être prudents…).

Si on peut les re-utiliser, cela donne envie de fabriquer des masques très jolis avec des tissus très mignons ; s’il faut jeter le masque après 3h, c’est peut-être dommage d’utiliser les plus jolis tissus… Notez bien que je suis tout à fait prête à en faire, même s’ils seront jetés après 3h d’utilisation !

Distribution de matériel pour démarrer la fabrication à Saint Leu

S’il s’avère vrai que l’on peut coudre des masque utile en utilisant du coton doublé avec un rembourrage de molleton ou polaire, comme certains le disent, je peux même préparer des kits pour d’autres bénévoles de ma ville avec un patron imprimé et des fournitures ! J’en ai plein de coton, molleton et polaire et une imprimante pour les patrons.

Mais il faudrait savoir de quel tissu utiliser ! Je vois passer tout et n’importe-quoi (doubler avec filtre à café, molleton, polaire – utiliser polyester, coton, … bref..) – mais la encore, l’important est sûrement de savoir à qui les masques sont destinés ; pour éviter qu’un virus ou autre passe à travers, ou dans un autre but, selon le besoin des gens qui vont les utiliser.

J’espère très vite y voir plus claire !

PS j’y vois déjà un peu plus clair, ayant obtenu un document de CHUGA qui précise que ce masque serait destiné à « des services de soins ne prenant pas en charge de patients Covid-19 » :